Les fêtes niçoises
Ancrées dans l’histoire et le patrimoine vivant de la Ville, les fêtes traditionnelles niçoises perpétuent des siècles de culture populaire, témoignant de l’identité, des coutumes et de la langue du pays niçois.
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Fête du Malonat
- Gratuit
Chaque année depuis 1854, la Ville de Nice, célèbre la Fête de Notre Dame du Malonat.
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Fête du Malonat
- Gratuit
Chaque année depuis 1854, la Ville de Nice, célèbre la Fête de Notre Dame du Malonat.
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Hommage à Catherine Ségurane
- Gratuit
La Ville de Nice célèbre chaque année Catherine Ségurane, héroïne légendaire de la résistance niçoise.
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Fête de l’Assomption
- Gratuit
Chère aux peuples méditerranéens, Marie représente la Mère, à la fois protectrice et consolatrice.
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Fête de la Sainte-Réparate
- Gratuit
Chaque année, la Ville de Nice rend hommage à Sainte-Réparate, jeune martyre du IIIe siècle et sainte patronne de la ville.
La langue niçoise
Langue historique, le nissart constitue un élément essentiel de l’identité culturelle de la Ville de Nice. À travers des actions de sensibilisation et de transmission, la Ville s’engage à faire vivre et valoriser cette langue auprès de toutes les générations.
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La cuisine niçoise
La gastronomie n’est pas un vain mot à Nice.
La renommée gastronomique de Nice, dans le monde, n’est pas due au hasard. Les primeurs y durent six mois. La région est une zone d’élevage, un centre fermier de fromage, un vivier de poissons, et un des premiers centres vinicoles français. Nice est la seule grande ville à posséder un cru d’appellation contrôlée, qui est aussi le plus ancien cépage du monde : le Vin de Bellet, rouge, blanc et rosé. Sa production annuelle est d’environ 50.000 bouteilles par an, très recherchées.
Sur les marchés, les producteurs locaux viennent vendre leurs produits frais. C’est là que s’approvisionnent les restaurants. Nombreux sont, aujourd’hui, les cuisiniers français de réputation internationale, et les jeunes chefs qui ont choisi Nice.
En effet, la Côte d’Azur compte le plus grand nombre de restaurants « 3 étoiles » au mètre carré.
Mais, la cuisine niçoise peut se déguster à tous les prix, que ce soit dans un cadre sophistiqué et luxueux ou dans les ruelles typiques du Vieux-Nice. Elle a su conserver toute son identité, dans la plus pure tradition.
Quelques spécialités incontournables ; la socca, la pissaladière, la tourte de blettes, le pan-bagnat, les farcis, la ratatouille, les tripes niçoises, les sardines farcies, la salade niçoise, les raviolis à la niçoise, le stockfish, la bagna cauda, les gnocchis, les beignets de fleurs de courgettes, etc…
Le label « Cuisine Nissarde » a fait peau neuve. Créé en 1995 par l’association Le Cercle de la Capelina d’Or, puis déposé en 1998 par l’UDOTSI, il a été repris courant 2013 par l’OTCN qui assure aujourd’hui sa gestion et sa promotion. Ce label a été légèrement remanié dans son apparence mais son objectif reste totalement inchangé : la défense et la promotion d’une cuisine niçoise authentique et faite maison. Un comité technique a été mis en place afin de définir des critères de sélection portant sur les recettes, mais aussi sur la qualité des produits et de l’accueil.
Le label « Cuisine Nissarde » est attribué aux restaurateurs qui œuvrent à la valorisation de la cuisine niçoise en s’engageant sur le respect des recettes, la qualité des produits et des matières premières utilisées, la qualité d’accueil et d’information de la clientèle comme la conformité avec la réglementation en matière d’hygiène et de sécurité.
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La salade niçoise
La salade niçoise est une spécialité culinaire célèbre de Nice aujourd’hui répandue dans le monde entier.
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La socca
La socca est une spécialité culinaire à base de farine de pois chiche originaire de Ligurie. Elle se présente sous la forme d’une grande et fine galette cuite sur de grandes plaques rondes en cuivre étamé, dans un four à pizza.
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La pissaladière
Outre la pâte à pain, la pissaladière est surtout composée d’un lit d’oignons qui doivent cuire assez longtemps à feux très doux pour « compoter » (90 min à 2 h 30 de cuisson en fonction de la variété) et en prenant soin d’éviter tout brunissement. La pâte à pain et l’oignon peuvent suffire, mais la vraie pissaladière ne saurait être faite sans pissalat, sorte de pâte ou de crème salée faite à partir de sardines et d’anchois salés, qui ont d’ailleurs donné son nom à la spécialité.
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La tourte de blette
La tourte de blettes (la torta de blea en niçois) est une spécialité culinaire niçoise à base de blettes, qui peut être servie aussi bien comme un plat, salé, que comme un dessert, sucré. Malgré la présence de blettes, il s’agit d’une pâtisserie, consommée froide ou tiède. Les feuilles de blettes finement hachées y sont mêlées entre autre à des pignons et raisins secs. La tourte se sert le plus souvent abondamment nappée de sucre glace.
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Le Pan bagnat
Le pan bagnat, souvent appelé à tort « pain bagnat », est un sandwich niçois au thon, aux crudités et à l’huile d’olive, composé dans un petit pain rond réalisé spécialement à cet effet. Le pan bagnat est au départ le casse-croûte à emporter des pêcheurs et autres travailleurs du matin et élaboré à partir d’ingrédients simples, locaux et bon marché. Ainsi, le thon, qui fait à présent partie de sa composition chez tous les marchands, a remplacé l’anchois. En effet, le thon était au XIXe et au début du XXe siècle un poisson cher, comparé à l’anchois, poisson populaire. La variante au thon est donc la variante « riche » du pan bagnat.
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Les farcis niçois
Les farcis sont une spécialité culinaire méditerranéenne, très répandu à Nice et en Provence, mais également dans d’autres pays de la Méditerranée. Ils sont fait à base de légumes : tomates, courgettes, oignons, poivrons, évidés et fourrés d’une farce. Les farcis sont consommés aussi bien chauds que froids.
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La Bagna Cauda
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Beignets de fleurs de courgettes
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Beignets sucrés
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Ganses
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Gnocchis
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Lapin à la niçoise
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Merda de can
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Mesclun
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Poche de veau farcie
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Ratatouille
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Raviolis niçois
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Sardines farcies à la nicoise
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Soupe au pistou
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Soupe de poisson
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Stockfish
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Tian
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Tripes à la niçoise
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Trouchia
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