Dans mes rêves j'y crois

L'artiste

Oana Alexa d’Ablove sillonne entre les couleurs de l’Univers, elle touche, elle goûte, elle s’émerveille ; les couleurs la draguent, elle se laisse faire, il appert qu’il y a une histoire d’Amour entre eux, les couleurs qui l’exaltent et elle-même qui succombe à leur tentation…

Née au cœur de la montagne en 1975, dans sa Transylvanie natale, elle respire sa liberté, sa liberté d’esprit. A ce jour, le soleil de Nice, sur la Côte d’Azur, caresse ses matins, elle lui en est reconnaissante. Grâce à son Master dans le Commerce International elle a immensément voyagé et cela n’a fait que forger davantage son art.

Oana s’adonne à la peinture depuis l’adolescence : à 11 ans, elle a eu l’honneur d’exposer pour la première fois, et garde encore dans son cœur les traces des émotions de bonheur et de plaisir ressenties à cette époque. Ces ressentis ont structuré les fondations solides afin de devenir une artiste qui s’anime au bruit du pinceau et vibre une fois la toile achevée.

Fascinée par la puissance des couleurs et la magie des serrements de cœur dégagés par les senteurs de la nature vivifiante : chacun de ses tableaux, pourtant, réalisés dans son atelier niçois, est unique et différent : elle passe allégrement d’un feu de cheminée, d’un bouquet de fleurs et de pétales qui s’entremêlent, d’un lampadaire, d’un couple d’amoureux au portrait de M. Jean-Paul Belmondo.

Oana utilise uniquement la peinture acrylique grâce à laquelle, elle a conçu plus de 200 tableaux, qui lui ont permis d’exposer en France, ou dans des lieux comme l’Italie, l’Autriche, ou plus récemment à Séoul avec l’NFT Joconde.

L’artiste cible les textures en relief pour obtenir des effets sculpturaux, profite de la magie de la technique pouring et tire également un avantage extraordinaire de l’époxy qui lui permet d’entrer dans le domaine de la profondeur. Le bois flottant est un plus qui la touche, il est mis en scène dans de nombreux de ses tableaux.

Elle aime rassembler des inspirations au gré du vent et composer comme elle l’entend, en appréciant cette liberté d’expression. Le réel bonheur est de partager son propre bonheur avec le spectateur. Il faut que ce dernier sorte heureux d’une exposition.