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0406/15
Une tradition niçoise qui célèbre cette année son 183e anniversaire.
Longtemps, les hommes furent démunis devant le fléau des épidémies. La dernière qui ait laissé une trace dans la mémoire collective niçoise s’y inscrit en négatif : c’est le choléra qui, en 1832, menaçait Nice et en fut écarté par la conjonction, du moins le comprit-on ainsi alors, de l’intercession divine et de la médecine des hommes. Cette frayeur laissa dans la pierre un souvenir magnifique, l’église du Vœu, et une tradition, la procession solennelle.